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Camp d’été 2025

Camp d’été à Gavarnie. Dantesque ?

Le camp

Camping avec palaces de toile de toutes dimensions, bungalow pour nos ainés, tentes rudimentaires pour les jeunes ou ceux qui ont su le rester. L’apéro est le même ou presque pour tout le monde. C’est notre rituel du soir. On débrief, on se projette pour le lendemain, avant de modifier le programme à l’infini pour s’adapter aux humeurs, état de fatigue des uns et des autres. Un grand groupe permet plusieurs activités en parallèle, avec différents niveaux de difficultés, bref tout un programme.

Pour commencer par un incontournable, le cirque de Gavarnie. Nous prenons, en grande meute,  des chemins de traverse à l’allée comme au retour. Sympas, ces petits détours dans les bois ou au bord de la rivière. 

Le cirque de Gavarnie

Refuge de la Pailla

On passe par la petite maison dans la prairie et on finit après un un bon détour à l’hôtellerie du point de départ touristique avant d’aborder la montée proprement dite.

On finit comme tout le monde ou presque car la  côte qui mène à la chute d’eau est sans y paraitre, longue, raide  avec de la caillasse qui sans précaution font plus reculer qu’avancer. 

Mais, arrivés à la cascade, quelle surprise ! De la grandeur, de la majesté et une bise fraiche …

L’escalade

Escalade presque tous les jours mais pas toujours avec les mêmes.

Un exemple de grande voie
Bande de geeks

Des voies, des petites, des grandes, des pour s’échauffer, d’autres pour se surpasser. Une fois, plusieurs fois, quand on aime on ne compte pas …

Via ferrata

Un incontournable effectué maintenant tous les ans : l’ascension d’une via ferrata

Le pont de singe, de fait, « balance » pas mal au milieu et laissera des souvenirs impérissables pour beaucoup. On ne pense pas que les singes s’y aventureraient.

La bande de jeune y retourne la nuit ????    Sensation garantie à priori.

 La brèche de Roland , et au delà !

Un des points forts du camp, la montée au sommet. Chacun son rythme, sa distance, sa destination : le refuge, la brèche de Roland, le sommet.

On prend la route du col, un GR tranquille pour aborder un vrai chemin de montagne qui nous conduit au refuge du Saradet. Au passage, des moutons bleus ? Du jamais vu. Les temps changent !

La première étape : le refuge de Sarradet. En y arrivant, on aperçoit la brèche mythique. Le fameux coup de hache de ce fameux Roland.  

Du refuge, de nombreux grimpeurs vont à la brèche comme d’autres font un pèlerinage.

Lors de la montée, un joli lac invitant à une petite pause pour jeux d’eau.

Au delà de la brèche une descente semi désertique avant d’arriver à la grande cheminée qui est un des passages pour atteindre le sommet.

En passant à gauche pour aller au sommet, on arrive à la grande cheminée.

Etroiture puis grimpette sans doute peu difficile mais sur voie non équipée  au dessus d’un vide immense pour ne pas dire terrifiant. Il a fallut jouer du coinceur et autres boucles.

Sommet tant attendu

Le vallon d’Estaubé, la randonnée « famille » à ne pas manquer. Le spot local après Gavarnie.

Une route étroite pour arriver au lac des Gloriettes. La hantise est de ne pas rencontrer une voiture en face le passage est étroit. 

Le lac, de type montagnard  est de toute beauté. Nous le longeons par un joli petit chemin sans doute facile mais qui se révèle assez long. Il nous mène à travers pâtures au petit cirque terminal. 

Cascade comme on peut l’imaginer, pour un pique nique au soleil.

La vallée de moyenne montagne avec ses vaches locales, ses paysages qui font vallon perdu.  Une petite cascade conclut le tout.

Un camp, ce sont aussi des imprévus, une sorte de gymnastique arrivée du bout du monde, des repas végans, que sais je ?….

Sans produits animaux, sans frigo, l'art du vide dans une assiette pleine

4 commentaires sur “Camp d’été 2025”

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