En bordure de Vanoise, à Bramans, Haute Maurienne.
Le village, un peu à l’écart de la route du fond de vallée offre un camping où l’on se sent en pleine nature.
Sous tente ou maison de toile, nous avons vécu quelques moments remarquables. Une soirée barbecue, voire même pizzas, si, si… Une nous a même vu calfeutrés dans un salon improvisé pour éviter la pluie.
Le marché, en bordure, était tout à fait dépaysant et donnait sur la place de l’église, de toute beauté, baroque comme dans le reste de la région
Nous avons commencé notre séjour par une randonnée dans le vallon tout proche de Bramans en passant l’ancien prieuré de St Pierre d’Extravanche. L’arrivée au refuge de Bramanette restera dans les mémoires, vallon d’un vert printanier où se nichait une petite maison de pierre sèche parfaitement restaurée au pied de laquelle coulait l’eau d’une fontaine.
Puis vint le temps de l’escalade. Première sortie d’acclimatation à la falaise de la dent du Monolite de Sardières
Nous avons aussi fait d’autres randonnées, dans le val d’Amblin
Le point culminant du séjour nous a vu monter au refuge d’Avérole. Nous avons monté le vallon qui surplombait le village.
Le soir nous connaissons une ambiance refuge, grande convivialité, préparatif minutieux du matériel pour la randonnée glaciaire …
Pour le lendemain nous séparer en deux groupes, celui de la rando glaciaire pour monter au sommet de la pointe Marie (3313 m) en remontant le glacier d’Arnès
et celui des infatigables randonneurs qui ont poursuivi le long du torrent de la Lombarde en direction du col de l’Autaret.
Via ferrata, du grand vertige
Une journée différente pour des via ferrata à gogo en partant de la redoute Marie Thérèse et le fort Victor Emmanuel.
Nous avons terminé par un jour où la pluie n’était pas loin par une ballade tranquille au lac du mont Cenis avec flânerie au jardin alpin.
Bon souvenir de ce camp : son ambiance, son côté inter générations, le mix d’activités où chacun peut s’y retrouver et cette pluie qui a toujours menacé sans presque jamais sévir.